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LE BARTELEUR, UNE NOUVELLE GAMME DE COCKTAILS PRÊTS À SERVIR

Créé par deux hédonistes amateurs de bon goûts et de boissons festives, les cocktails Le Barteleur proposent une gamme de 3 cocktails déjà prêts à savourer.

UNE GAMME DE 3 COCKTAILS

  • Philippe Di Méo ©gregoiremachavoine
  • Nicolas Vanier ©gregoiremachavoine
©gregoiremachavoine

Pour lancer leur marque, Nicolas Vanier et Philippe Di Méo ont imaginé 3 cocktails « twistés » sur les bases d’un Negroni, d’un Manhattan et d’un Hanky Panky. Des boissons premium embouteillées avec la complicité de la distillerie Ferroni basée à Aubagne.

Avec le Negroni, Le Barteleur rend hommage à une boisson née à Florence en 1919. Le célèbre Américano corsé d’une dose de gin à la demande d’un comte italien de retour d’un voyage à Londres. Le gin ici employé est français et tire son caractère des graines de fenouil, carvi, aneth et angelique. Il ne suffit que de quelques glaçons pour l’apprécier.

Le Manhattan, créé pour une femme lors d’un banquet donné par la mère de Winston Churchill au Manhattan Club, reprend l’essence d’un des mélanges les plus appréciés de la haute société new-yorkaise de la fin du XIXe siècle. Le Barteleur mélange dans ce cocktail un rye whisky, vanillé et miellé, à un vin rouge gorgé de fruits comme la framboise, la fraise et la cerise, le tout prolongé par un bouquet d’épices.

©gregoiremachavoine
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Le Hanky Panky fut imaginé à Londres dans les années folles par Ada Coleman, chef barman du Savoy Hôtel. Le cocktail du Barteleur associe un gin aromatique à la fraicheur des herbes, des épices et des agrumes. En bouche un bouquet herbacé et poivré mêlant la fraîcheur du citron et de la menthe, le piquant du gingembre et les notes de réglisse, de bois de santal et de benjoin.

Cocktails Le Barteleur

Bouteille de 70 cl vendue 42 €

Informations : www.lebarteleur.com

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7ème ÉDITION DU FESTIVAL OMNIVORE À PARIS

« Élevez-vous pour élever la cuisine », cette phrase empruntée à Anne-Sophie Pic est la punch line de la 7ème édition du festival Omnivore, qui cette année encore réunira le gratin du monde culinaire à la maison de la Mutualité.

 

 

Le festival Omnivore ne se résume pas à trois jours de fête, d’échanges, de discussions et de dégustations. Luc Dubanchet, le créateur d’Omnivore, veut aussi que ce soit l’occasion de s’interroger sur la transmission, l’éducation et la manière dont le monde de la cuisine envisage la planète. Et comme la cuisine, ce n’est pas que des recettes, le chef de demain doit se poser aujourd’hui les questions liées à son environnement, à ses relations avec le monde agricole notamment, qui chaque jour lui fournit la matière première essentielle à ses créations. C’est toute la raison des scènes artisans et avant-garde qui durant 3 jours tenteront d’y réfléchir.

 

6 SCÈNES – 1000 RENCONTRES

Le programme d’Omnivore 2018 s’annonce dense. En plus des masterclass « salées » ou « sucrées », le festival abordera différents thèmes liés au restaurant. À commencer par la mixologie, devenue incontournable. Les cocktails apparaissent sur les cartes comme le pendant liquide des créations culinaires, le festival accueillera donc le nec plus ultra des baristas : Flavio Angiolillo de Milan, Thanos Pranarus venus d’Athènes, Marc Alvarez de Barcelone, Olivier Jacobs de Gand, etc.  Le café lui aussi a pris une place de choix dans la restauration. Et l’éclosion des multiples Coffee Shop de la capitale n’y est pas pour rien. Une scène au couleur de Lavazza parlera donc café : méthodes d’extraction, torréfactions, Latte Art, regard sociologique sur le café par des historiens et des sociologues, des sessions qui  s’annoncent des plus enrichissantes.

 

POP UP DINNER

Parce qu’Omnivore, c’est aussi de la cuisine, chaque journée se clôturera par un dîner, avec cette année une affiche exceptionnelle. Dimanche 4 mars, la grande scène de la Mutualité accueillera Anne-Sophie PIC et Alexandre GAUTHIER pour un dîner à 4 mains. Le lundi soir, c’est un trio de japonais officiant à Paris qui s’invitera aux fourneaux : Katsuaki Okimaya (Abri), Taku Sekine (Dersou)et Atsushi Tanaka (AT) avant que le trio de chefs belges – la Flandre est l’invitée d’honneur du festival – Davy Schellemans (Veranda), Dennis Broeckx (L’Épicerie du Cirque) et Sanders Goossens (Domestic) ne viennent clore le festival. Pour réservez, c’est ici.

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OSTREA, UN NOUVEAU LIEU DE PERDITION

Le bar clandestin L'une des alcôves où se nicher pour boire un cocktail

L’étroite devanture bleue, dans la rue de l’arbre sec, ne laisse en rien présager de ce qui se cache derrière ce bar marin décomplexé ouvert jeudi dernier à deux pas du Louvre : Bienvenue à OSTREA.

 

Derrière la vitre, un court comptoir, quelques tabourets, pas plus de tables et une carte exclusivement marine mêlant les huîtres de clair de Marennes Oléron, les rillettes de JC David, Tarama et saumon fumé, et pour ne fâcher personne, rillettes de canard, épaule et saucisson Bellota Bellota.

 

Un comptoir peut en cacher un autre

Passé le temps des petits faims et de l’apéro entre copains, vient celui de prolonger la soirée dans un lieu pour le moins confiné, car si rien n’y paraît au premier coup d’œil, le fond de la salle mérite d’être exploré. PERDITION ajoute son nom à la liste des speakeasy de la capitale… Un bar clandestin – enfin pas tout à fait – se cache derrière une porte masquée. Quelques marches à descendre et vous voilà dans le nouvel antre du cocktail parisien.

 

Cave voutée revisitée

Le bar à cocktails se niche – c’est vraiment le cas – dans l’une des arcades du sous sol vouté, véritable cave parisienne comme on peut se les imaginer, le charme en plus. La pierre de Paris donne au lieu, habillé de luminaire trendy, une atmosphère des plus chaleureuses. Etagée sur trois niveaux, cette cave chic permet de se lover dans un fauteuil ou dans l’un des canapés, sous l’une des voûtes millénaires, le temps d’un verre avant de prolonger la fête jusqu’au lendemain. La carte des cocktails liste de jolies créations aux noms poétiques – « la vie à deux », « Juliette à Tokyo », etc. La mixologie étant totalement maitrisée par la prêtresse es alcool tout juste arrivée de l’hôtel Le Prince de Galles ; vous pouvez donc consommer les yeux fermés – mais avec modération.

 

OSTREA&PERDITION

60 rue de l’arbre sec

75001 Paris

01 85 81 11 11

Ouvert du mardi au samedi de 18 h à 2 h

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COCKTAILS D’ÉTÉ PAR DEUX BLOCKBUSTER CHARENTAIS

La mode est aux cocktails, deux blockbusters charentais s’unissent pour rythmer l’été. Prince Hubert de Polignac, la deuxième marque de cognac la plus vendue en France s’associe au Pineau des Charentes Reygnac, leader sur le marché du Pineau français pour offrir une série de cocktail de l’été.

 

D’un côté la valeur sûre des Cognac VS, assemblage d’eaux de vie de trois et quatre ans majoritairement issues de Fins Bois, avec une petite part de Petite Champagne – deux terroirs de Cognac. Et de l’autre, un Pineau aux reflets dorés, assemblage de Folles Blanche, d’Uni Blanc, et Colombard. En bouche un fruité délicat sur des notes de raisins et de tilleul.

 

Si ces deux alcools se consomment seuls, ils peuvent aussi trouver leur place dans des cocktails, très en vogue en ce moment. Ces deux maisons se sont donc associées pour proposer 4 cocktails à consommer tout l’été.

 

Recettes de cocktails R&P :

R&P RED FRESH R-P_Red_Fresh

2cl de Cognac

3 cl de Pineau

1 cl de jus de citron

6 cl de jus de cranberry

Glaçons

 

Shakez quelques instants puis filtrez et versez dans un verre rafraichi. Vous pouvez ajouter un fin quartier de citron vert.

 

REYNAC MOJITO Reynac_Mojito

4 cl de Pineau

6 tranches de citron vert

4 feuilles de menthe

Eau pétillante

 

Écrasez les tranches de citron et les feuilles de menthe à l’aide d’un pilon dans le fond d’un verre. Ajoutez le pineau, les glaçons et terminez en allongeant à l’eau pétillante selon vos goûts.

 

POLIGNAC GINGER Polignac_Ginger-1

4 cl de Cognac

Ginger Ale

Glacons

 

Placez deux glaçons dans un verre, versez le Cognac puis complétez par Ginger Ale.

 

REYNAC TONIC Reynac_Tonic

8 cl de Pineau

2 cl de Schweppes ®

Placez deux glaçons dans un verre, versez le Pineau puis complétez par le Schweppes ®

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PARIS COCKTAIL WEEK, seconde édition

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Si le Mojito reste champion toutes catégories et fait toujours parti des cocktails les plus commandés dans les établissements, l’offre s’est depuis 3 ans notamment, beaucoup diversifiée. Les nouveaux lieus branchés dédiés aux cocktails n’ont cessé d’ouvrir aux quatres coins de Paris.

 

Il est loin le temps où seuls les palaces et quelques bars de quartier spécialisés proposaient une carte de cocktails. Depuis 2007 le paysage a beaucoup évolué. La vogue du cocktail a insufflé une vague d’ouvertures dans la capital. À tel point que les spécialistes parlent déjà d’un marché mature, vu la vitesse à laquelle les lieux et les concepts se sont développés. Les classiques ont fait place aux créatifs et aux cocktails signatures qui sont selon les études, choisis par 26 % des clients qui franchissent la porte d’un bar, d’un speakeasy ou même d’un restaurant.

 

Car preuve du phénomène, les restaurants aussi proposent des cocktails à leur carte, peut-être une réponse à ces nouveaux concepts qui ne s’arrêtent plus à la boisson mais proposent aussi à leur clientèle une offre de restauration. Le Candelaria dans le 3ème arrondissement a fait office de précurseur dans le domaine, en associant en vitrine une « Taqueria » mexicaine, et en « arrière boutique » un bar à cocktail qui a vite fait le buzz dans le Paris qui bouge. Ouvert par le même trio, citons également Le Mary Celeste ou Le Glass tous les trois inscrits dans le Top 100 des « World Best Bar » (Drinks international), le classement référence en matière de bar à cocktails.

 

Dans la tendance, le Gin semble être la IT Drink du moment – le Tiger dans le 6ème en propose une quarantaine à sa carte. On note aussi un retour au source, puisque 10 ans après avoir sorti les bars à cocktail des hôtels, « Experimental Group » – BallRoom, Mathis, Compagnie des vins surnaturels –  relance un bar de poche associé à une brasserie dans un hôtel 4*. Un travail soigné sur les cocktails, une ambiance feutrée, mais plus festive que dans les palaces. Retenons sinon que les « old drinks » – Byrrh, Campari, Cherry, etc. – refont surface, et que les cocktails sans alcool s’imposent au profit d’une clientèle soucieuse de sa santé et curieuse d’une nouvelle expérience.

 

Pour célébrer cette mode, et mettre Paris à l’heure du cocktail, 54 établissements vont durant une semaine proposer deux cocktails, avec et sans alcool, imaginés pour la seconde édition de la Paris Cocktail Week. 8 restaurants joueront également le jeu du cocktail en l’inscrivant comme ingrédients à leur carte, et pour ceux qui rêvent de devenir « At home » de véritable Bar Tender, 9 Masterclass sont organisées pour tout apprendre et tout savoir sur l’art et la manière de shaker le cocktail parfait.

 

Pour participer, c’est simple, il suffit de s’inscrire et de télécharger son Passeport pour accéder aux événements et aux Masterclass. Toutes les infos et votre inscription, en cliquant ici.

 

Paris Cocktail Week du 23 au 30 janvier

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RAFFLES 1915 GIN

La distillerie artisanale Sipsmith, en collaboration avec le groupe hôtelier Raffles, vient de créer Raffles 1915. Un gin d’exception qui célèbre le centenaire du cocktail Singapore Sling, créé par Ngiam Tong Boon, le barman du premier hôtel Raffles inauguré à Singapour en 1887.

 

Le co-fondateur de Sipsmith, Sam Galsworthy, est l’arrière arrière petit neveu de Sir Stamford Raffles, fondateur de Singapour, qui donna son nom à l’hôtel. Sam Galsworthy a décidé d’écrire une nouvelle page de l’histoire du gin au Royaume Uni en réintroduisant des alambics en cuivre dans la capitale britannique. Ses spiritueux ont déjà remporté une trentaine de distinctions internationales.

 

Le Raffles 1915 Gin offre un équilibre et un parfum exceptionnel. Exceptées les baies de genièvre, plantes aromatiques de base qui donne son nom à la boisson, le nouveau gin Sipsmith doit son caractère et son élégance à un assemblage unique, constitué entre autres de fleurs de jasmin, de zeste frais de pomelo, de citronnelle, de feuille de citron Kaffir, de muscade et de cardamome.

 

Le Raffles 1915 Gin pourra se déguster au Raffles de Paris – Hôtel Royal Monceau – à Dubaï, au Cambodge et à Singapour avant d’être servi un peu plus tard aux Seychelles, en Chine, à Istanbul, Manille et Jakarta.

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